Archives pour la catégorie Energie

General Electric Energy

General Electric : la turbine à gaz de tous les records !

General Electric lance la turbine à gaz de tous les records !

General Electric turbine

Turbine General Electric

Les américains aiment les chiffres et les records et encore plus lorsqu’il s’agit de les rendre publiques.

Ainsi le groupe américain General Electric vient d’annoncer la conception, en partenariat avec EDF, d’une turbine ultra puissante capable d’alimenter 400.000 foyers en électricité en 30 minutes. Elle est aussi puissante que 1.200 Ferrari réunies et pèse autant qu’un Airbus A380. Mais surtout, elle émet moins de CO2 que les générations de turbines précédentes, « l’équivalent de 8.000 véhicules en moins sur les routes », indique son constructeur. Lire la suite

Les bons effets de la baisse du prix du baril de pétrole.

Le baril de brut de pétrole est passé de 115 dollars en juin à 66 dollars le 28 novembre dernier.

Oil_rigDes prix à ce niveau sont une aubaine pour les consommateurs qui verraient baisser la facture de plus de 1000 milliards de dollars par an ! L’économie mondiale, en pleine stagnation, pourrait bien trouver dans ce contexte une belle stimulation. Cependant il faut nuancer car si certains pays pourrait enregistrer un répit budgétaire, d’autres, comme l’Iran, la Russie, le Vénézuela, tous gros producteurs, se verraient confronter à de lourdes menaces sur leur équilibre budgétaire. Lire la suite

DCNS une belle croissance

Le groupe DCNS détenu par l’Etat (65%) et Thalès (35%) a enregistré, entre 2010 et 2013, une croissance de l’ordre de 40% avec un CA de 3,36 milliards d’Euros en 2013.

L’avenir de DCNS se présente plutôt bien, avec 12 milliards d’Euros de commandes représentant quatre années d’activités. Ce carnet de commande est nourri par des commandes françaises avec les frégates FREMM, le sous-marin d’attaque Barracuda mais aussi avec de belles affaires à l’export comme celle de quatre corvettes Gowind commandées par l’Egypte.

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ANDRÉ LAURENT surfe sur la vague SMM

ANDRÉ LAURENT SAS surfe sur la vague SMM,  the leading international maritime trade fair

Le stand ANDRÉ LAURENT SAS au salon SMM à Hambourg (2014)

Le stand ANDRÉ LAURENT SAS au salon SMM à Hambourg (2014)

Le salon SMM d’Hambourg est un des plus gros rassemblements européen et mondial du secteur maritime. La présence de MAN, Rolls Royce, Caterpillar ou encore Wärtsilä, en fait « the place to be » pour des rencontres productives entre interlocuteurs de toutes origines et de toutes cultures. Sa dimension en fait un rendez-vous obligé du développement international de la société ANDRÉ LAURENT SAS.

Du 6 au 9 septembre, ANDRÉ LAURENT SAS, associé avec Remy-Barrere Gears a présenté son expertise et ses savoir-faire auprès des acheteurs et des commerciaux des acteurs du secteur. Lire la suite

STX EUROPE http://www.stxeurope.com/

Anemos, le nouveau pôle « énergies marines » de STX France

Anemos, le nouveau pôle dédié aux énergies marines renouvelables (EMR)

STX EUROPE http://www.stxeurope.com/Plus de 12.000 m², deux nouveaux ateliers, une aire de pré-montage, voici Anemos le nouveau pôle de STX, dédié aux énergies marines renouvelables (EMR). Opérationnel début 2015 Anemos est un symbole fort de la crédibilité du chantier saint nazairien et de sa capacité à conduire des projets sur le marché des EMR. En effet, l’entreprise s’intéresse depuis plusieurs années aux énergies marines, pour lesquelles elle a remporté ses premiers contrats à commencer par les structures d’éoliennes pour le compte d’Alstom et de Dong l’énergéticien danois. Désormais STX attend les résultats pour une dizaine d’appels d’offre. Convaincu du potentiel du marché des énergies marines renouvelables, encouragé en cela par les nombreux appels d’offre et commandes, STX s’est engagé dans Anemos avec même d’avoir des commandes fermes. Le risque est assumé et en contrepartie il y a l’assurance pour les clients d’être livré sans retard.

Avec cet outil STX va pouvoir réaliser en propre des éléments d’éoliennes offshore, des sous-stations électriques, des fondations, et aussi aller vers la fourniture de matériels pour le houlomoteur et l’hydrolien.

Brochure ANEMOS STX FRANCE

Le pari des énergies marines

En pariant sur les énergies marines, la direction de STX s’est fixée comme objectif, que cette activité représente au terme des cinq prochaines années, entre 15 et 20% de l’activité de l’entreprise. Mais on imagine aussi que cela pourrait être davantage, de l’ordre de 30% avec les conséquences sur l’emploi que l’on imagine. Dans cet perspective, une extension du site est déjà dans les cartons.

Un tel investissement ne va pas sans le concours entre autres, des collectivités territoriales comme la région des Pays de Loire qui a apporté des garanties financières auprès des banques et une participation, à la fois en capital à hauteur de 1,5 millions d’euros et en compte courant de 1,2 millions d’euros.

Cap sur l’Europe

Actuellement STX se concentre sur l’export, plus exactement sur l’Europe, là où les réalisations et les investissements dans les parcs éoliens sont les plus nombreux, les projets EMR français étant freinés par la complexité administrative et les recours qui peuvent survenir à n’importe quel moment. Mais la loi sur la transition énergétique devrait encadrer les conditions des recours et remédier à l’attente de l’industrie en faveur du raccourcissement des délais et du rayonnement de l’industrie française dans ce secteur très porteur y compris en terme d’emplois .

Le point sur l’éolien offshore

Eolien Offshore, un marché nouveau sans véritable retours d’expériences

L’ éolien offshore est un marché nouveau sur lequel il y a très peu de retour d’expérience. C’est à l’horizon 2023 qu’une seconde tranche d’éoliennes offshore devrait être mise en service sur les côtes de la Manche à Le Tréport (Seine-Maritime en région Haute-Normandie) et sur les côtes de l’Atlantique à  proximité des îles d’Yeu et de l’île Noirmoutier (Vendée) . L’offshore éolien est complexe dans sa mise en œuvre et se heurte à des problèmes inattendus de mise au point comme celui des pales des éoliennes qui rouillent en mer du Nord, ou des difficultés de raccordement au réseau électrique … des problèmes rencontrés par les acteurs allemands du secteur, Siemens en tête.

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La filière nucléaire française reprend des forces.

Trois ans après Fukushima, la filière nucléaire reprend des forces.

A l’issue de la catastrophe de Fukushima, beaucoup de pays ont différé ou annulé leurs programmes nucléaires. Trois ans plus tard, exceptées l’Allemagne et l’Italie la plupart des pays renouent avec l’atome. Lire la suite

Nucléaire Royaume-Uni : 2 réacteurs EDF-Areva pour un contrat de 19 milliards d’Euros

19 milliards d’Euros, c’est le montant du contrat « historique » signé entre le gouvernement britannique et EDF-Areva associés avec deux groupes chinois pour la construction de 2 réacteurs nucléaires au Royaume-Uni de type EPR.

ED0F au Royaume-Uni pour un contrat historique sur le nucléaire!

EDF devrait détenir 45 à 50% du projet et Areva 10%. Les deux groupes chinois China General Nuclear Corporation (CGN) et China National Nuclear Corporation (CNNC) détiendraient ensemble, 30 à 40%.

Il s’agira de réacteurs de 3e génération (réacteur européen à eau pressurisée), fourni par le groupe public français Areva. Les deux réacteurs EPR auront une puissance de 3,2 GW.

La construction des deux réacteurs EPR compensera l’arrêt d’une série de centrales électriques au charbon et de réacteurs en fin de vie. Ils devraient aider Londres à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Les deux EPR devraient fournir, à eux seuls, jusqu’à 7% de la demande d’électricité au Royaume-Uni.

D’ici à 2025, plus de 40% des centrales du Royaume-Uni devront fermer alors que les besoins en électricité ne cessent de croitre. Le nucléaire couvre aujourd’hui environ 18% de la demande en électricité du Royaume-Uni, et il devrait fournir près de 40% de la production d’électricité britannique d’ici 2030.

Le Royaume-Uni a parallèlement garanti à EDF un prix de vente de l’électricité durant 35 ans. Ce prix sera fixé à 89,50 livres par mégawatt/heure. Ceci, au cas où EDF décide de poursuivre son projet de construction de deux autres EPR en Angleterre. Sinon, le prix de vente s’élèvera à 92,5 livres. Ces montants, très élevés par rapport aux cours actuels de l’électricité outre-Manche, inquiètent les consommateurs, même si, selon EDF et le gouvernement britannique, « l’électricité produite sera compétitive avec celle produite par les futures centrales au gaz ainsi qu’avec d’autres sources d’énergie faiblement carbonées ». « Il est estimé que le nouveau programme nucléaire britannique permettra aux ménages d’économiser 74 livres par an en prix courant d’ici à 2026-30″.

Le groupe Areva, pour qui l’opération est un succès majeur, n’avait fourni jusqu’à présent que quatre exemplaires de son réacteur dernier cri. Les deux EPR anglais portent donc à 6 les ventes d’Areva pour ses réacteurs. EDF a engagé les premières études pour la construction de deux autres réacteurs EPR toujours en GB.

Les prochains marchés pour la filière française du nucléaire pourraient bien être l’Afrique du Sud et la Pologne. Le premier régulièrement frappé par les coupures géantes veut construire pour 9000 MW d’ici 2030, soit 6 EPR. Le second, vise les 6000 MW.

Nucléaire Royaume-Uni - United Kingdom Nuclear power plans map

Programme Nucléaire Royaume-Uni (wikipedia)

En savoir plus sur le programme nucléaire au Royaume-Uni

Schneider Dalkia, un accord de développement en Chine

Vers un accord Schneider Dalkia pour le marché chinois.

Schneider et Dalkia, les deux leaders français de la performance énergétique des bâtiments ont conclu un accord dont la forme reste à définir, pour exporter leur savoir-faire en Chine. Lire la suite